Fondation FAS

L’addiction à l'alcool ou aux drogues n’est pas un vice, c’est une maladie chronique et progressive

L’addiction à l’alcool ou aux drogues n’est pas un vice c’est une maladie chronique et progressive

Aide au traitement de l’alcoolisme et des addictions, conseils et orientation dans les institutions thérapeutiques compétentes.

« La théorie selon laquelle nous sommes allergiques à l’alcool et aux substances présente un intérêt pour nous. Nous ne pouvons jamais consommer sereinement ; une fois que l’habitude de consommer contractée, nous découvrons qu’il est impossible de s’en défaire, nous perdons confiance en nous même, nos problèmes s’accumulent et deviennent étonnamment difficiles à régler. »

Parmi les dépendants qui se sont joints au programme auquel nous adhérons, 50% sont devenus abstinents immédiatement et le sont demeurés ; 25% sont parvenus à l’abstinence après quelques rechutes, et les autres qui ont continuer de fréquenter les groupes de soutien ont fait des progrès.

La dépendance est une maladie chronique progressive et fatale

Le terme alcool peut être remplacé par n’importe quelle substance.

Hommes et femmes boivent essentiellement parce qu’ils aiment l’effet produit par l’alcool. L’impression d’évasion qu’il procure est telle que même si les buveurs admettent son effet nuisible sur la santé, ils ne peuvent plus, après un certain temps, différencier ce qui est bon de ce qui ne l’est pas.

Pour les alcooliques, la vie qu’ils mènent est la seule qui soit normale. Ils sont impatients, irritables et mécontents aussi longtemps qu’ils ne ressentent pas de nouveau cette sensation d’aise et de confort que leurs procurent quelques verres

Une histoire sans fin ?

Après qu’ils ont une fois de plus succombé au désir de boire, comme il arrive à un si grand nombre, et que le phénomène de l’obsession s’accentue, les alcooliques traversent les étapes bien connues de la cuite, dont ils émergent bourrés de remords et fermement résolus à ne plus jamais boire. Ce scénario se répète encore et encore et, à moins que cette personne puisse vivre l’expérience d’un changement psychique total, il y a peu d’espoir qu’elle se rétablisse.

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